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Jeudi 28 janvier 2010 à 22:51

Hier encore
J'avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps

J'ai fait tant de projets
Qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le cœur mis en terre

Hier encore
J'avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l'arrêter
Et pour le retenir
Même le devancer
Je n'ai fait que courir
Et me suis essoufflé

Ignorant le passé
Conjuguant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bon
Pour critiquer le monde
Avec désinvolture

Hier encore
J'avais vingt ans
Mais j'ai perdu mon temps
A faire des folies
Qui ne me laissent au fond
Rien de vraiment précis
Que quelques rides au front
Et la peur de l'ennui

Car mes amours sont mortes
Avant que d'exister
Mes amis sont partis
Et ne reviendront pas
Par ma faute j'ai fait
Le vide autour de moi
Et j'ai gâché ma vie
Et mes jeunes années

Du meilleur et du pire
En jetant le meilleur
J'ai figé mes sourires
Et j'ai glacé mes pleurs
Où sont-ils à présent
A présent mes vingt ans?

 Charles Aznavour

Mardi 20 octobre 2009 à 14:19

Déja Plus de 6mois a Paris alala comme le temps passe vite simplement peut etre car pour la premiere fois j'ai l'impression de vivrehttp://aurorepockette.cowblog.fr/images/20090051.jpg

Jeudi 17 septembre 2009 à 20:50

Mercredi 16 septembre 2009 à 22:55

Un nouveau jour se lève, enfin nouveau est un grand mot.
Ils se ressemblent tellement tous qu’on ne fait plus gaffe aux alentours.
Les gens se bousculent, se marchent dessus en fait mais ils ne se regardent plus.
Chacun reste dans sa tête. Assis à l’arrêt de bus,
J’vois cet homme le regard vide comme chaque matin il part au chantier
Mais n’en a plus envie. Ca fait trente que ça dure le même train-train,
Mais il faut bien nourrir sa petite famille même s’il sent sa vie mourir.
Lui qui dans sa jeunesse s’est battu pour la France,
Pour retour de pièce comme beaucoup n’a eu le droit qu’à son ingratitude,
Espère un bon avenir pour ses gosses, dans un pays qui s’efforce
A mettre des bâtons dans les roues à ceux qui n’ont pas la bonne face.
Puis un bruit de volets qui s’ouvrent,
Une vieille dame à sa fenêtre qui regarde le monde tel un tableau
Dans lequel elle ne veut plus être.
Où les époques passent comme des saisons, la sienne est morte,
Et chaque soir elle s’endort avec l’idée de ne plus se réveiller.
Elle se sent seule en bas, les gens de sa vie sont partis,
Et quand elle parle d’elle c’est au passé, s’excuse presque d’être en vie.
N’attend que le dimanche pour aller choisir des fleurs,
Afin d’aller au cimetière se recueillir auprès de son mari défunt.
Puis un rire de petite fille vient ensoleiller la rue, elle court dans tous les sens
La joie de vivre, la vie dans son état pur, qui s’émerveille devant la rosée du matin,
Pleine de « regarde maman » et maman crie vient ici et donne moi la main.
La tête baissée elle obéit d’un air un peu déçu,
Puis la relève voyant la vieille dame à se fenêtre au-dessus.
Echange de regards brefs, brefs mais signifiants,
Etincelant les yeux de la vieille dame qui murmurait doucement.

Cueille ta vie, avant qu’elle soit emportée par le vent.
Cueille ta vie, avant qu’elle soit abîmée par le temps.
Cueille ta vie, tiens là fort et ne l’enferme pas dans leur rang,
Ne là laisse pas s’envoler loin des rêves, cueille là dès maintenant.

Un peu plus loin ce jeune garçon assis sur des cartons,
Entouré de bouteilles vides qui n’attend plus rien que l’hécatombe.
Victime d’une vie qu’il n’a plus voulu prendre en main,
Prisonnier du bitume il s’est construit son monde.
De très loin un monde intérieur riche où lui seul est souverain,
Royaume imaginaire qui ne laisse plus rentrer la cruauté des humains.
Il n’a plus la notion du temps, enfermé dans sa tête,
L’enfant lui pleure à chaque instant où la tempête s’arrête.
Puis une femme sort de chez elle, lunettes de soleil,
Qui cachent des larmes et l’hématome d’un amour passionnel.
Fruit d’une union virant aux déboires à double tranchant,
Devenant coupable le soir lorsqu’il commence à boire.
Elle a perdue l’homme qu’elle aimait, volé par l’alcool,
Attendant toujours son retour et repoussant toujours l’ultimatum,
Culpabilisant, car seule et laisée l’amour rend aveugle
Surtout quand la vue donne envie de se crever les yeux.
Puis un homme style la cinquantaine sort de sa voiture,
Costard cravate, tête droite, avance avec fière allure.
Mais dans son ombre on peut lire celle d’un homme triste et seul, pas d’amis,
Juste des gens intéressé par son fric, il les a tous perdus, sa famille et ses proches,
Faute d’un égo démesuré, trop d’aigreurs dans les reproches.
Et aujourd’hui a fini par comprendre dans son malheur,
Qu’en étant seul même tout l’argent du monde n’a plus de valeur.

Il n’est jamais trop tard pour cueillir sa vie,
Rattrapé le retard tout commence aujourd’hui.
Sortir la tête de sa bulle même si ce monde nous dépasse,
Ouvrir les yeux et se libérer de nos habitudes de glace.
Il n’est jamais trop tard pour changer le courant de l’esclave,
Passé maître de sa vie pour ne plus vivre mourant,
Osé plongé dans l’inconnu,
Souvent réparateur on choisit son chemin,
Il paraît que le bonheur fait peur.

Cueille ta vie, avant qu’elle soit emportée par le vent.
Cueille ta vie, avant qu’elle soit abîmée par le temps.
Cueille ta vie, tiens là fort et ne l’enferme pas dans leur rang,
Ne là laisse pas s’envoler loin des rêves, cueille là dès maintenant.

Kenny Arkana

 

Samedi 15 août 2009 à 17:42

Refrain ( Sarah Riani ) :

Même si le monde se met à tourner a l'envers
Si chaque seconde me guette
Comme si c'était la dernière
Même si mes larmes ne pourront jamais oublier
D'une blessure a l'autre
Rien ne pourra m'arrêter

Couplets (Brasco) :

J'ai maitrisé mes sales habitudes
Et assumer mes actes
Quand l'bitume
Me rend la vie dure
Et que la chance m'échappe
J'ai gaspillé mon temps
A dormir sur les bancs
Des fois j'pétais les plombs
Parce que j'n'avais rien sous la dent
J'étais pris dans l'engrenage
Dans c'putain de vice maudit
Tenter par le mal j'suis pas son fils prodige
J'ai donné d'faux espoir aux parents
Il m'voyait fonctionnaire
Etouffé par la chemise et le pantalon
J’essaie de m'écarter de la rue et d’sa vertu
Qui t'empoisonne pour mieux t'achever avec une balle perdue
J'vole de mes propres ailes
Sans m'faire plumer
Tu pourras pas éteindre le feu d'une grosse tête brulée
J'ai déteins sur le ghetto
Loin des quartiers riches
J'peux pas me laisser abattre pendant qu'les etat nous karchérise
J'ai pris conscience a force de voir les frères tomber
Rien n'pourra m'arrêter
A part d'me faire plomber

Refrain ( Sarah Riani ) :

Même si le monde se met à tourner a l'envers
Si chaque seconde me guette
Comme si c'était la dernière
Même si mes larmes ne pourront jamais oublier
D'une blessure a l'autre
Rien ne pourra m'arrêter

Sarah dis leur !...

Couplets ( sarah riani ) :

Du fond de ma mémoire
Je me souviens encore
Cette petite fille à part
Qui a grandit sans escorte
Je noyais en silence
Chacun des rêves que j'avais
Maquillais les apparences
Pour que personne ne sache que je saignais
Aujourd'hui me voilà
Je suis là même princesse au combat
Partie de rien l ame en peine
Mais je suis partie quand même

Refrain ( Sarah Riani ) :

Même si le monde se met à tourner a l'envers
Si chaque seconde me guette
Comme si c'était la dernière
Même si mes larmes ne pourront jamais oublier
D'une blessure a l'autre
Rien ne pourra m'arrêter

Rien ne pourra m'arrêter ( x4 )

Couplets (brasco) :

Mais qui a dis qu'j'avais pas ma place
Mais qui a dis qu'j'allais boire la tasse
Mais qui a dis qu'j'allais perdre la face
J'suis un bonhomme dans ce cercle vicieux
J'reste un bonhomme devant certain pisseux
J'veux pas t'mentir
J'veux m'en sortir
Sans m'griller
Car si je brule les étapes j'fini dans l'cendrier
J’ai appris à encaisser mon sort maintenant
Quand je tombe jme relève a chaque fois plus fort qu’avant

Refrain ( Sarah Riani ) :

Même si le monde se met à tourner a l'envers
Si chaque seconde me guette
Comme si c'était la dernière
Même si mes larmes ne pourront jamais oublier
D’une blessure a l'autre
Rien ne pourra m'arrêter

Rien ne pourra m’arrêter ( x4 )

( Brasco,Sarah d’une blessure a l’autre, sisi , on oublie pas les cicatrice,
bombattak yeah, sisi )

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